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Volatility, Chaikin's (Volatilité de Chaikin)
L’indicateur de Volatility (Chaikin’s) (" Volatilité de Chaikin ") compare l’écart entre le plus haut et le plus bas enregistrés sur une valeur. Cette comparaison est faite d’abord en calculant une moyenne mobile de la différence entre le plus haut et le plus bas quotidien, puis en calculant le rate-of-change en pourcentage de cette moyenne mobile.
Avant de calculer l’indicateur de volatilité de Chaikin, il vous est demandé d’entrer le nombre d’unités de temps pour la moyenne mobile et le nombre d’unités de temps pour le R.O.C. L’auteur de cet indicateur (Marc Chaikin) a recommandé de prendre 10 unités de temps à la fois pour la moyenne mobile et pour le R.O.C.
Voir page pour plus d’informations sur la façon de tracer les indicateurs. Pour plus d’informations sur les paramètres de l’indicateur de volatilité.
Interprétation
Cet indicateur quantifie la volatilité comme un élargissement du range entre les hauts et les bas (i.e., des oscillations de prix plus amples durant la journée).
Il y a deux manières d’interpréter cette mesure de volatilité. La première suppose que les sommets de marché sont généralement accompagnés par un accroissement de la volatilité et que les creux de marchés sont généralement accompagnés d’une baisse de la volatilité. Une méthode opposée (celle de Mr. Chaikin) fait l’hypothèse qu’une hausse de l’indicateur de volatilité sur une durée courte indique qu’un creux est proche (e.g., a panic sell-off/ventes panique) et qu’une baisse de la volatilité sur une longue durée indique l’approche d’un sommet (e.g., un marché haussier mature).
Astuces
M. Chaikin recommande que les investisseurs ne reposent pas leur décision sur un seul indicateur, quel qu’il soit, et il suggère d’utiliser un système de pénétration de moyenne mobile ou de bande de trading pour confirmer ce dernier indicateur (ou tout autre de votre choix).
Parce que cet indicateur utilise le plus haut et le plus bas du jour dans son calcul, il ne pourra pas fonctionner sur les titres pour lesquels il n’existe qu’un cours de clôture (e.g., la plupart des fonds mutuels).